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Antoine Griezmann MBTI 성격 유형

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Analyse de Griezou par l’ennéagramme avec son autobiographie de 2017. C’est pas hyper nette, on pourrait presque défendre l’hypothèse 6 mais il semblerait que ce soit un 9. Il se décrit comme « le Français blond, timide et toujours souriant » ; « Je fonctionne de façon simple, naturelle » et il se décrit comme « résolument positif ». Selon son mentor, Éric Olhats, Antoine « sait aussi être égoïste quand il en a besoin. C’est un épicurien. C’est une personnalité atypique, rafraîchissante et humble. » Il rajoute : « Antoine est un affectif qui devient hermétique si on insiste trop. Il est du genre à esquiver les problèmes. Sa grande formule, d’ailleurs, est celle-ci : « Je n’ai pas envie de me prendre la tête ». Il est dans la culture de l’instant. Et il a tout le temps la banane. » Son centre émotionnel est fort : - Après avoir quitté sa famille, il vit à Bayonne à 14 ans et dit : « je n’avais pas trop d’ami au collège […] je rédigeais mes SMS en pleurant, plongé dans le noir. Je songeai même, à de brefs instants, à arrêter. » - Quand il a marqué son 1er but pro : « j’avais les larmes aux yeux » - Quand il a vu qu’il était retenu pour faire la WC2014 : « J’ai crié. Crier très fort. J’ai immédiatement appelé mes parents. […] J’étais envahi par l’émotion » - Après la défaite de la WC2014 : « la frustration était telle que je n’ai pas pu faire autrement que d’éclater en sanglots ». Mais il n’a pas de problème d’identité : « Je veux plaire pour ce que je suis, pas pour ce que les autres voudraient que je sois. Et si je ne plais pas, eh bien tant pis. […] Je ne le recherche pas spécifiquement mais oui, je suis populaire ». Il préfère l’instinctif et recherche la tranquillité : - « Je ne veux pas être façonné. J’entends garder ma spontanéité et ma fraîcheur » - Sur le terrain, il se dépense beaucoup. Par exemple, 142 kilomètres parcourus en 13 matchs de Champions League en 2016 - Il dit qu’il « peut avoir le sang chaud ! Depuis tout petit, sur un terrain, j’ai la hargne » - « Je suis très casanier » - De retour chez lui à Mâcon, il « reste à la maison […], ne bouge pas » - « Aussitôt que je suis à la maison, je n’ai qu’une envie : rester tranquille » - « Parfois je me décourageais. Je n’avais plus envie de passer des essais » (bascule) Il fuit les conflits : - « Je n’aime pas le conflit, et en général, je m’arrange pour l’éviter. Du coup je n’ai pas véritablement piqué ma crise d’adolescence » - Sur une sortie nocturne qui lui a valu 13 mois de suspension en Bleus : « Si certains joueurs ont pu faire appel à leurs sanctions, ce ne fut pas mon cas. Mon raisonnement : "Tu fermes ta bouche, tu fais profil bas. Tu vas au bout de ta suspension et puis voilà…" » - Quand les entraîneurs cherchaient qui avait fait le mur, Antoine ne se dénonçait pas : « J’attendais de voir si ça allait passer. Bien sûr, si le coach venait à me demander si j’y étais, je ne mentirai pas » - « Je m’énerve rarement sur un terrain […] Je peux m’agacer mais les fois où cela s’est passé se comptent sur le doigt d’une main ». - « J’arrive à la salle à 22h29. J’ai déjà un peu de stress. Je pense : "Merde, je vais être le dernier, ils vont m’attendre."» (perception du dérangement) De la paresse mentale : - Quand il parle en français : « il m’arrive de perdre mes mots ou de ne pas trop savoir quoi dire » - « Je n’ai jamais dévié de mon rêve : devenir footballeur professionnel […] Et je n’avais pas de plan B… » - Sur un potentiel départ à Tottenham à l’été 2014 : « Je ne voulais pas me précipiter ni m’emballer. "Attendons déjà qu’il se mettent d’accord. On verra ensuite…" ai-je répondu ». De l’oubli de soi : - « J’étais tellement timide que je n’osais rien demander » (quand il était jeune) - « Les tatouages, j’en voulais depuis longtemps. J’ai néanmoins attendu d’être majeur ». - Une fois à l’entrainement, il est arrivé avec des tresses : « L’entraineur m’a demandé de changer de look. […] Je me suis naturellement exécuté. Je ne comprenais pas trop en quoi cela pouvait choquer mais j’ai obéi ». - « Je suis ainsi. Sourire ne représente aucun effort. […] Pour une photo, je le dégaine systématiquement. Je trouve ça élégant, poli même quand je ne suis pas de bonne humeur ». - « Je n’ai pas pu m’empêcher de m’excuser […] : je suis vraiment désolé de ne pas avoir marqué […] ai-je lancé des trémolos dans la voix au sélectionneur » en parlant de la finale de l’euro 2016. - « J’ai l’amour du collectif. […] Avant quand je le recevais [le ballon], je le redonnais tout de suite, y compris quand personne ne me chargeait. […] Je déteste penser à moi en termes individuels ». Il a vraisemblablement une aile 1 : - « je ne suis pas rancunier » (donc pas d’aile 8) - « je cherche toujours à m’améliorer » - Éric Olhats dit qu’il est « très exigent avec lui-même » - Après son penalty raté en finale de ligue des champions 2016 : « j’étais triste, énervé. […] Je culpabilise encore aujourd’hui ». Donc voilà. Un 9 mu à aile 1 je pense.

전기

Antoine Griezmann (Mâcon, March 21, 1991) is a French footballer who acts as an attacker. Currently plays for Atletico Madrid and the French Football Team. Griezmann began his career at Real Sociedad, making his debut in 2009 and winning the Spanish Second Division title in his first season. In five seasons, he scored 52 goals in 201 official matches. In 2014, he transferred to Atletico Madrid for 30 million euros. Griezmann was one of three finalists to the 2016 FIFA Ballon d'Or, but was third behind Cristiano Ronaldo and Lionel Messi, respectively. Again in 2018 he was one of the three finalists for the 2018 FIFA Ballon d’Or, this time behind Luka Modric and Cristiano Ronaldo.